Ça va couci-couça

Je suis complètement planté depuis ce matin, il n’y a pas de vent, c’est vraiment rageant. Devant, ils s’en vont, et derrière ils reviennent. Quant à moi, je fais du surplace.

Je réagis de deux façons : intérieurement, je suis enragé. Et en parallèle, j’essaie d’être philosophe, et de me dire que je ne peux rien y faire, qu’il faut être pragmatique.

Les conditions sont particulièrement désagréables en plus, car il y a une forte houle ; ça grince et ça claque dans tous les sens, j’aimerais me promener sur tout le pont avec une burette d’huile…

Dans ces conditions, le matériel fatigue beaucoup. Et moi je me réjouis très sérieusement de me remettre en route.

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