Je suis au cœur d’une zone très instable, pile poil au milieu de l’anticyclone. Je n’ai évidemment pas choisi d’aller là, mais je n’ai pas eu le choix après avoir franchi la porte Crozet. C’est rageant, parce que Jean et Mike, qui sont quelques dizaines de milles devant, sont juste passés entre les gouttes et ils ont pu garder de la vitesse tout le long alors que moi, je me suis retrouvé pendant un moment à l’arrêt. En plus, c’est un phénomène météo assez long, qui va encore rester là un moment. Il faut donc régler en finesse pour bien avancer.