« Le vent a tendance à caler, on se rapproche de l’anticyclone en se rapprochant de la porte, et il n’y a plus que 15 nœuds environ. Et comme l’anticyclone est stationnaire sur la porte, on n’a pas trop le choix : on doit aller se planter dedans ; on est tributaires de cette situation météorologique.
Cela dit, la situation est intéressante, et ce qui se passe dans le groupe de tête est passionnant. Je pense que la tactique d’Armel est très intelligente, on ne va pas tarder à le retrouver en tête de la course.
J’observe tout ce qui se passe, devant mais aussi derrière. C’est un véritable jeu d’échecs à l’échelle planétaire. »