« A quoi reconnait-on que le petit temps est arrivé ?
On manoeuvre beaucoup, des voiles immenses, et on voit le pont avant se
recouvrir de ces voiles et de leur sac. Le cockpit ressemble à un plat de
nouilles, toutes les écoutes, drisses et autres bouts s’empilent par couches
au fur et à mesure des changements de voiles. Heureusement qu’elles sont
toutes de couleurs différentes, sans ça on s’y perdrait !
On transpire beaucoup (même dans le grand Sud !) et on se dit, tout ce
travail pour quelques centaines de mètres de gagnés, quelques dixièmes de
noeuds de grappillés…
Mais pas le choix si on vent sortir un jour de ce screugneugneu
d’anticyclone, il faut bouger !!!
D’ailleurs j’y vais !
A+
Dom