Le Mirabaud navigue désormais dans l’océan Indien, loin au nord du parcours que les marins empruntent habituellement. Les organisateurs ont en effet placé des « portes » virtuelles que les voiliers doivent franchir et celles-ci sont placées de façon à leur permettre d’éviter les nombreuses glaces dérivantes. « Les conditions sont très difficiles », raconte Dominique. « Non pas en raison de la force du vent – il n’y a pas plus de 10 nœuds – mais à cause de la mer qui est grosse, désordonnée et complètement chaotique. Nous avons toute la toile dessus et nous naviguons pleine vent arrière en direction de cette porte que nous devons franchir. Ce n’est vraiment pas idéal mais nous n’avons pas le choix. »